Ce samedi, un groupe de 6 participantes (eh oui, une fois de plus, la gente masculine nous a laissées tomber !).

Notre animatrice commence par expliquer aux nouvelles venues ce qu’est le yoga du rire, d’où il vient. Elle explique aussi qu’ici, les codes que la société nous impose n’existent plus, on se lâche, on se fait du bien, on se regarde avec bienveillance.
Et l’atelier commence : échauffement (et ça chauffe !), préparation du rire (et là, c’est plus ou moins facile de se laisser aller, on le sent bien). Et puis ça y’est, c’est la partie « travail du rire »… et si au début c’est un exercice un peu inattendu et du coup compliqué, on se prend vite au jeu tellement ça fait du bien, tellement le rire des uns et des autres est finalement contagieux. Et on se regarde, on rit ensemble, on rit seul, on rit en groupe, et on a du mal justement à arrêter ce rire !
Puis vient le moment détente, introspection personnelle : on cherche à ressentir dans son corps ce que la séance nous a apporté, on se détend, on bâille à s’en décrocher la mâchoire, on profite de ce moment de pur répit.
Et tout doucement on reprend pied dans la réalité, on s’assied sur nos tapis, on se regarde comme si on se réveillait façon Belle au Bois Dormant, tout étonnée d’avoir autant rit sans aucune raison, et n’en revenant pas du bien que ça nous a fait.
j’ai carrément adoré ! ça m’a enthousiasmée ; je reviendrai !
ou encore
J’ai une pêche d’enferOn sent l’énergie qui circule, la chaleur dans le corps, les zygomates qui ont été bien sollicités
une de nos participantes, qui a eu l’expérience du tout petit groupe de 2 personnes, voire même du cours particulier, nous confie :
L’expression plus on est de fous plus on rit trouve vraiment tout son sens avec l’atelier de ce matin ; c’est le bon nombre ! J’ai adoré les échanges de regards
Oui car au Yoga du Rire, on travaille aussi beaucoup le regard (sur soi, mais aussi les uns envers les autres, la bienveillance, le sens du partage).
Une autre de nos participantes s’est étonnée de bâiller, de se sentir si détendue :
j’aurais pu m’endormir tellement j’étais bien, moi qui mets toujours des heures à trouver le sommeil